01 fév.
Université

©Virgile_Laguin

Présentation

Université populaire - Cycle Communication et langages

De nouveaux lieux de conception, de production et de collaboration voient le jour un peu partout dans le monde : fablabs, hackerspaces, techshops, etc. Equipés de machines industrielles et numériques, les hackers ou makers inventent un nouveau modèle d’activité : le faire (make). À distance des exigences imposées par le marché et les grandes organisations bureaucratiques, les membres des hackerspaces et autres laboratoires de fabrication font du travail une fin en elle-même, sans que quiconque n’impose d’objectifs, de délais, de contraintes… Juste l’envie de faire pour soi.
Le sociologue Michel Lallement a partagé la vie des hackers, les a regardés inventer, bidouiller et s’organiser au quotidien dans des communautés expérimentant une utopie concrète. Cette nouvelle grammaire du vivre ensemble révolutionne les organisations industrielles classiques et reconfigure notre rapport collectif au travail.

Michel Lallement est professeur du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), titulaire de la chaire d’Analyse sociologique du travail, de l’emploi et des organisations et membre du Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie
économique (CNRS). Ses travaux portent sur les transformations du travail dans ses dimensions multiples. Il est l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels L’âge du faire : Hacking, travail, anarchie, paru au Seuil en 2015.

L'Âge du "Faire"

Université populaire - Cycle Communication et langages

01 fév.
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Université populaire

Présentation

Université populaire - Cycle Communication et langages

De nouveaux lieux de conception, de production et de collaboration voient le jour un peu partout dans le monde : fablabs, hackerspaces, techshops, etc. Equipés de machines industrielles et numériques, les hackers ou makers inventent un nouveau modèle d’activité : le faire (make). À distance des exigences imposées par le marché et les grandes organisations bureaucratiques, les membres des hackerspaces et autres laboratoires de fabrication font du travail une fin en elle-même, sans que quiconque n’impose d’objectifs, de délais, de contraintes… Juste l’envie de faire pour soi.
Le sociologue Michel Lallement a partagé la vie des hackers, les a regardés inventer, bidouiller et s’organiser au quotidien dans des communautés expérimentant une utopie concrète. Cette nouvelle grammaire du vivre ensemble révolutionne les organisations industrielles classiques et reconfigure notre rapport collectif au travail.

Michel Lallement est professeur du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), titulaire de la chaire d’Analyse sociologique du travail, de l’emploi et des organisations et membre du Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie
économique (CNRS). Ses travaux portent sur les transformations du travail dans ses dimensions multiples. Il est l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels L’âge du faire : Hacking, travail, anarchie, paru au Seuil en 2015.

Date
lun 01 fév - 18h30

Pratique

(Université – amphi A6 – UFR Lettres et sciences humaines)
Entrée libre