05 fév.
Fitz

©Jacky-Cellier

Présentation


Papanosh a comme le fantôme de Mingus qui lui colle aux basques : l’esprit de bande type « workshop », l’envie de se servir des musiques traditionnelles comme de trampolines endiablés, l’humour aussi coquin qu’absurde, la tendance aux collages, aux ruptures, aux faux-raccords. Mais loin de vouloir suivre l’immense contrebassiste à la lettre, les Papanosh convient le virevoltant saxophoniste new-yorkais Roy Nathanson (Lounge Lizards,Sotto Voce, Jazz Passengers,) ainsi que le tromboniste de l’ONJ Fidel Fourneyron pour une séance de spiritisme échevelée à base de compositions improvisées, de chants impromptus et de réarrangements dérangés.

« Après une semaine à Brooklyn en février, l’énergie collective est en boucle. Le workshop de Papanosh ne manque pas de panache, ni de souffles inspirés sur des collages de Mingus, mâtinés de blues et gorgés à l’orgue de gospel. » Dominique Queillé, Libération.
« Leur musique nous vient droit dans le ventre, le cœur, les mains, les pieds et les jambes se mettent à frapper les rythmes avec eux, les yeux les suivent hypnotisés, et la fête commence ! » Elsa Boublil, France Inter.

Papanosh

05 fév.
Fitz
Tarif 6€
Musique

Présentation


Papanosh a comme le fantôme de Mingus qui lui colle aux basques : l’esprit de bande type « workshop », l’envie de se servir des musiques traditionnelles comme de trampolines endiablés, l’humour aussi coquin qu’absurde, la tendance aux collages, aux ruptures, aux faux-raccords. Mais loin de vouloir suivre l’immense contrebassiste à la lettre, les Papanosh convient le virevoltant saxophoniste new-yorkais Roy Nathanson (Lounge Lizards,Sotto Voce, Jazz Passengers,) ainsi que le tromboniste de l’ONJ Fidel Fourneyron pour une séance de spiritisme échevelée à base de compositions improvisées, de chants impromptus et de réarrangements dérangés.

« Après une semaine à Brooklyn en février, l’énergie collective est en boucle. Le workshop de Papanosh ne manque pas de panache, ni de souffles inspirés sur des collages de Mingus, mâtinés de blues et gorgés à l’orgue de gospel. » Dominique Queillé, Libération.
« Leur musique nous vient droit dans le ventre, le cœur, les mains, les pieds et les jambes se mettent à frapper les rythmes avec eux, les yeux les suivent hypnotisés, et la fête commence ! » Elsa Boublil, France Inter.

Date
ven 05 fév - 22h30

Distribution

Raphaël Quenehen saxophone, chant

Quentin Ghomari  trompette

Sébastien Palis  piano, orgue, chant

Thibault Cellier contrebasse

Jérémie Piazza batterie

Roy Nathanson saxophone, chant

Fidel Fourneyron trombone