5 fév.
Fitz
Rébecca Chaillon

© Marikel Lahana

Présentation

Laver nos représentations

Des pièces manifestes, des spectacles choc.  Rébecca Chaillon ne craint pas les excès quand elle veut dénoncer ce qui l’indigne :  la place faite aux femmes, a fortiori quand elles sont noires, grosses, bi, queer… Car c’est ainsi qu’elle se définit.

Depuis dix ans, ses créations mêlant théâtre, danse et arts visuels n’hésitent pas à bousculer les codes de la scène et de la bienséance.  Elles explorent les identités féminines, le rapport au corps, à la nourriture, à la société.  Avec Carte Noire nommée désir, Rébecca Chaillon, d’origine martiniquaise, enfonce un peu plus le clou en dynamitant tous les stéréotypes attachés à la femme noire et à l’imaginaire colonial. Avec toujours cet engagement du corps phénoménal et la performance comme arme.

Rencontre avec une artiste engagée et iconoclaste ! Elle sera en dialogue avec Bérénice Hamidi, professeure en esthétiques et politiques des arts vivants à l’Université Lyon 2, qui s’intéresse aux enjeux politiques des représentations culturelles et à la manière dont le théâtre reproduit ou transforme les rapports de domination.

Aux arts, citoyens !

Rencontre avec Rébecca Chaillon et Bérénice Hamidi

5 fév.
Fitz
Aux arts, citoyens !
Durée: 
1h30
Entrée libre sans réservation
durée: 1h30
rencontre

Présentation

Laver nos représentations

Des pièces manifestes, des spectacles choc.  Rébecca Chaillon ne craint pas les excès quand elle veut dénoncer ce qui l’indigne :  la place faite aux femmes, a fortiori quand elles sont noires, grosses, bi, queer… Car c’est ainsi qu’elle se définit.

Depuis dix ans, ses créations mêlant théâtre, danse et arts visuels n’hésitent pas à bousculer les codes de la scène et de la bienséance.  Elles explorent les identités féminines, le rapport au corps, à la nourriture, à la société.  Avec Carte Noire nommée désir, Rébecca Chaillon, d’origine martiniquaise, enfonce un peu plus le clou en dynamitant tous les stéréotypes attachés à la femme noire et à l’imaginaire colonial. Avec toujours cet engagement du corps phénoménal et la performance comme arme.

Rencontre avec une artiste engagée et iconoclaste ! Elle sera en dialogue avec Bérénice Hamidi, professeure en esthétiques et politiques des arts vivants à l’Université Lyon 2, qui s’intéresse aux enjeux politiques des représentations culturelles et à la manière dont le théâtre reproduit ou transforme les rapports de domination.

Date
lun 05 fév - 18h00

Distribution

Rébecca Chaillon : metteuse en scène, autrice, performeuse

Bérénice Hamidi : professeure en études théâtrales, membre de l’Institut Universitaire de France